Effectivement, l'action des femmes dans la résistance était un point capital, et il me semble que la première femme espion envoyée par l'angleterre en France vers 1940-41 avait déjà un beau background : de mémoire (Cf. 2000 ans d'histoire sur France Inter ou une quelconque émission historique de Franck Ferrand sur Europe 1, j'aimerais bien la retrouver), elle s'appellait Wolf, avait une jambe de bois, s'était faite parachuter en France pour coordonner des opération de sabotage avec la résistance sur place, et Klaus Barby l'avait appellée La Boiteuse. Tout un programme.
Le devoir civique allemand me semble... ben...logique. C'était bien l'état d'esprit de l'époque, avec le projet Lebensborn et tout ça... Le Staatburgerschaft serait bien sûr géré par la RuSHA, qui en gros était à peu près faite pour ce genre de travaux, mis à part que son activité serait élargie à toute la Heer, et non plus seulement aux SS.
Cela dit, les alliés en feraient ils autant? Pas sûrd'un premier point de vue moral, et pourtant... Si on extrapole à nouveau, la perspective de voir devant soi 100 millions de SS pour souches, bornés et entrainés à tuer depuis leur naissance, sans compter des divisions entières d'occultistes submergerait les alliés qui ne pourraient plus tenir face à l'allemagne qui aurait su développer son potentiel militaire.
Du coup, peut être que les russes envisageraitn un système semblable, vu que le régiment autoritaire en place était du même acabit que celui du gouvernement nazi (toute idéologie mise à part, bien entendu, on parle ici d'appareil politique, de propagande, de culte du chef, etc...). En revanche, pour les alliés "occidentaux", le probleme moral serait je pense plus important.
Un avis?